VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Lorsque le scénario de Moi, Tonya a été envoyé à Craig Gillespie, Margot Robbie avait déjà été castée et le metteur en scène a voulu réaliser le film parce qu'il trouvait que la comédienne était le choix idéal pour se glisser dans la peau de Tonya Harding. Il se rappelle : "Il y avait là une maîtrise absolue de la narration, un parfait équilibre entre humour et émotion et une construction dramaturgique foncièrement originale qui m’a effrayé et enthousiasmé à la fois."
Craig Gillespie connaissait à l'origine très bien cette affaire. Le réalisateur travaillait à l’époque dans la publicité et avait tourné une pub pour la soupe Campbell’s avec Nancy Kerrigan trois mois avant le déclenchement de l’affaire !
Très en amont du projet, Craig Gillespie avait rencontré la chorégraphe patinage, Sarah Kawahara, pour évoquer ce que Margot Robbie serait capable de faire par elle-même et les figures pour lesquelles ils allaient avoir besoin de doublures. L'actrice s’est entraînée pendant quatre mois et, même si elle a acquis un bon niveau, des doublures ont dû être utilisées pour les scènes des Jeux Olympique.
Le cinéaste se souvient :
"Sarah nous a immédiatement expliqué qu’on ne trouverait personne capable d’accomplir le triple axel : il n’y avait que six femmes qui avaient réussi cet exploit dans toute l’histoire du patinage. À l’heure actuelle, il y a deux patineuses qui participeront l’an prochain aux JO et qui ne peuvent pas prendre le risque de se blesser. J’ai été stupéfait en apprenant à quel point c’était difficile, que Tonya y était parvenue il y a 25 ans et que si peu de patineuses avaient renouvelé l’exploit depuis. On a fini par recourir aux effets visuels !" |
La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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