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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Mascarade est adapté d'un livre que Nicolas Bedos a tenté d’écrire pendant un an et qui relatait de façon très romancée une période de sa vie, vers l’âge de 23 ans, lorsqu'il se "noyait dans l’oisiveté et l'argent des autres" (d'après ses propres termes).
Nicolas Bedos a fait le choix de tourner en pellicule pour donner forme à une esthétique plus ou moins intemporelle des personnages, du genre et de la région. Le metteur en scène raconte : "Je voulais filmer une histoire d’aujourd’hui avec des outils d’autrefois."
"En dépit des progrès technologiques, la pellicule confère un aspect pictural que le numérique ne permet pas, notamment en extérieur. Ça se sent sur les peaux, le brillant des regards. La contrepartie, c’est que la mise en place est beaucoup plus laborieuse, du fait que la pellicule est moins sensible à la lumière."
Nicolas Bedos s'est référé à la citation de Somerset Maugham à propos de la Riviera : "A sunny place for shady people".
Il a donc choisi d'ouvrir le film sur des plans d’un Nice très urbain, assez peu exotique et a demandé à ce que le drone utilisé survole des zones en construction :
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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