|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Les réalisateurs se sont renseignés auprès de praticiens et ont effectué des recherches pour dresser une liste de près de 250 fantasmes : « Notre motivation principale était de rester le plus réaliste possible. Aussi incongrues que soient les situations, l’identification doit toujours nous permettre d’appréhender ce que vivent nos personnages avec empathie. Que cela nous excite, nous dérange ou nous révulse. »
Le film met en scène :
-La ludophilie : être excité par l’idée de jouer un rôle
-La dacryphilie : être excité par les larmes
-La sorophilie : être excité par la sœur de l’être aimé
-La thanatophilie : être excité par la mort
-La hypophilie : être excité de ne plus faire l’amour
-L’autagonistophilie : être excité d’être regardé en faisant l’amour
Les Fantasmes a été tourné après le premier confinement dans des conditions forcément particulières. « Six histoires d’amour avec des scènes d’intimité en plein boom des gestes barrières, et entre deux confinements. On ne peut pas dire : on a le sens du timing (Rires) », s’amusent les réalisateurs.
Les Fantasmes s’inspire de If You Love Me… un film australien de Josh Lawson sorti en 2014. Ce sont les producteurs Éric et Nicolas Altmayer qui ont proposé le projet à Stéphane et David Foenkinos : « Nous avons été cueillis par le concept et le sujet. Si nous avons repris le procédé, nous avons modifié la structure d’une grande partie des sketches, et en avons écrit de nouveaux. Immédiatement, nous y avons vu de nombreuses possibilités narratives avec un fort potentiel de comédie. Et cela nous permettait d’oser franchir encore quelques frontières, voire quelques tabous. »
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly