SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Quand Robert Downey Jr. a choisi, après avoir quitté l'univers Marvel, de s'attaquer au périple du célèbre vétérinaire – et de revenir à l'Angleterre victorienne où se déroule l'histoire de Dolittle –, un nouvel héros était né. Les producteurs Joe Roth et Jeffrey Kirschenbaum ont contacté Team Downey, société de production de Robert et Susan Downey, son épouse et fidèle collaboratrice, sensibles à la faculté de Roth à réinterpréter les grands classiques de la littérature. d’Alice au pays des merveilles à Blanche Neige et le Chasseur, le producteur prolifi que a transposé de nombreux contes célèbres en blockbusters. Roth et Kirschebaum étaient certains qu'avec Robert Downey, l'interprétation du brillant et complexe Dolittle serait des plus marquantes.
Le choix de faire de Dolittle un gallois présentait certains défis que Robert Downey Jr. n'avait pas anticipés. "Il se trouve que c'est l'accent le plus difficile du monde et ça m'a rendu fou !", confie Downey. "Ça devrait au moins faire l'affaire pour le film. Le gallois est proche d'une langue d'origine gaélique et j'y ai pris beaucoup de plaisir. Michael Sheen m'a beaucoup soutenu et donné quelques conseils. Il m'a parlé de discussions qu'il avait avec son père si bien que je l'ai enregistré et j'ai aussi fait appel à un coach gallois". Downey a en effet travaillé avec le répétiteur Andrew Jack et le consultant gallois Tim Treloar qui étaient tous les deux présents sur le plateau pendant le tournage.
Depuis près d'un siècle, les contes fantaisistes de "L'extravagant Docteur Dolittle" de Hugh Lofting enchantent les lecteurs, de toutes générations. La capacité extraordinaire du héros à parler les langues complexes des animaux, petits et grands, a nourri l'imaginaire du public qui découvrait ses aventures dans les livres, à la radio, au théâtre, à la télévision ou au cinéma. Popularisé par Eddie Murphy à la fin des années 90, le Dr Dolittle se voit désormais incarné par Robert Downey Jr.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly