​LE TATOUÉ
Nom Original   ​LE TATOUÉ
Réalisateur   DENYS DE LA PATELLIERE
Date de sortie  18/09/1968
Durée   1h32
Genre   COMÉDIE
​Nationalité   FRANÇAISE

Films Réalisés   22

Louis de Funès
FELICIEN MEZERAY

Jean Gabin
COMTE ENGUERAND DE MONTIGNAC

Pierre Tornade
LE BRIGADIER

Jo Warfield
LARSEN

Dominique Davray
SUZANNE MEZERAY

​
​SYNOPSIS
Félicien Mezeray, brocanteur d'art, découvre un jour un authentique Modigliani. Autant dire que la fortune est à lui. Enfin presque. Car l'oeuvre a été tatouée sur le dos d'un ex-légionnaire bougon et colérique, qui n'a cure des manigances de Mezeray. Ce dernier est prêt à tout pour arriver à ses fins, même à retaper la maison de campagne du légionnaire, qui s'avère être un château du 16ème siècle en ruines.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ce film marque la quatrième et dernière rencontre cinématographique entre Jean Gabin et Louis De Funès. A noter que c'est l'unique fois où ils partagent tous deux la tête d'affiche. 

Avant que sa notoriété n'égale celle de l'acteur-vedette, le comique avait tenu auprès de ce dernier des rôles secondaires, voire très anecdotiques (le rôle non crédité de Laurent Passementier dans Napoléon de Sacha Guitry, les rôles de Jambier dans La Traversée de Paris et de Gaspard Ripeux dans Le Gentleman d'Epsom, respectivement en 1955, 1956 et 1962).
Legrain traite à un moment Mézeray d'épicier, en référence au film La Traversée de Paris, dans lequel Louis de Funès jouait le rôle de Jambier, un épicier.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
L’intérêt principal du film est bien évidemment la rencontre entre 2 monstres sacrés du cinéma français. Ici Louis de Funès trouve du répondant avec un Jean Gabin en face de lui, qui ne se laisse pas autant faire que les acteurs habituels (Bourvil, Coluche, Galabru ou Gensac…). Le scénario est assez simple et malheureusement le film perd vite de son intérêt malgré la présence du duo qui fonctionne bien.
​LA NOTE : 5/10

L’HISTOIRE
Le scénario ne fait pas illusion longtemps et pars vite en lambeau pour laisser en roues libres les 2 acteurs qui n’ont que leur talent pour tenir le film. Les seconds rôles sont absents. Outre la présence de Paul Mercey et de Pierre Tornade dans apparitions bien trop courtes, on notera surtout que Claude Gensac l’éternelle épouse de De Funès à l’écran laisse ici sa place à une Dominique Davray à la voix absolument insupportable.
​ ​LA NOTE : 3/10 

LE JEU
De Funès se retrouvant confronter à plus fort que lui par le gabarit et, plus rare, par le tempérament, en la présence de Jean Gabin, s’attendrit et finit par démontrer une facette peu connue. Au final le duo fonctionne bien et on prend plaisir à voir les deux immenses acteurs, à défaut d’apprécier réellement le film.
LA NOTE : 7/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 1h32. Et si la durée est très classique, on s’ennuie vite et, chose rare dans les films de Louis de Funès, on avancerait bien un peu le curseur histoire d’abréger les souffrances d’un opus sans réel scénario et à la vocation purement commercial.
LA NOTE : 5/10 
La musique est signée Georges Garvarentz et d’emblée il signe un générique qui promets des scènes cocasses. On a même droit à une version modifiée du thème de la Panthère Rose !! La bande est son est sympathique et donne du peps à un film qui en avait bien besoin.
LA NOTE : 6/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors sont à l’image du film. Pas d’histoire mais 2 grandes stars réunies pour la 1ère fois pour un coup de pub et ça marchera très bien. Pour les décors, on dégotte une ruine de château en Dordogne et le tour est joué. Pas besoin de s’ennuyer à multiplier les décors…
LA NOTE : 6/10 
Pas d'effets spéciaux
​ LA NOTE : N/A

La note de sevenart  5.3 / 10

IMDB   6.6 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   6.6 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  3.6 / 10
Sens Critique   6.1 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   - / 10
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​La moyenne sans 7  5.7 / 10

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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN