SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
L'intrigue du Labyrinthe : le remède mortel se déroule 6 mois après la fin du 2e film, La Terre Brûlée.
Au départ annoncée pour le 17 février 2017, la sortie du Labyrinthe : le remède mortel a été repoussée d'un an. Ce changement fait suite à l'accident de l'acteur principal Dylan O'Brien lors du tournage du film - ce dernier a été percuté par une voiture et a subi de multiples fractures. La production a donc été interrompue durant plusieurs mois, jusqu'au rétablissement complet du comédien.
Il s'agit du 3ème et dernier opus de la saga de dystopie adaptée des livres de James Dashner. A l'instar de Twilight et Hunger Games, la production souhaitait découper le dernier roman afin d'en faire 2 films. Mais le réalisateur Wes Ball a refusé, prétextant qu'il ne pouvait y avoir qu'un début, un milieu et UNE fin. Ce dernier a eu raison des producteurs.
L'équipe a posé ses valises au Cap, en Afrique du Sud, pour le tournage de ce dernier volet de la saga Le Labyrinthe. Nommée capitale mondiale du design en 2014 par l’International Council of Societies of Industrial Design, la ville, avec ses hauts buildings et son architecture moderne, était la parfaite doublure pour la Dernière Ville, contrôlée par l'organisation WICKED.
Pour l'extérieur du Q.G. et du laboratoire de WICKED, l'équipe a jeté son dévolu sur le Cape Town International Convention Center, un parc d'expositions. Quant à l'intérieur du Q.G., il a été construit dans un gigantesque entrepôt reconverti en studio près du Cap. Composée d'innombrables pièces reliées entre elles par de multiples couloirs, l'architecture du Q.G. n'est pas sans rappelée celle d'un labyrinthe. L'aménagement du décor a permis à l'équipe de réaliser des plans séquences sans avoir besoin de faire de coupes au montage.
La séquence ferroviaire d'ouverture a été tournée durant cinq jours dans le désert du Kalahari, qui couvre une large partie du Botswana et s'étend en Namibie et en Afrique du Sud.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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