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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Molly Bloom, qui a été bannie du Canada parce qu'elle a été reconnue coupable d'un crime fédéral aux Etats-Unis, a cependant obtenu une autorisation spéciale pour se rendre au Festival International du film de Toronto où Le Grand jeu était diffusé en avant-première.
Au départ, Aaron Sorkin avait quelques réticences à l'idée d'adapter le livre de Molly Bloom pour le grand écran. La raison ? L'identité des joueurs qui avaient fréquenté son cercle. Le metteur en scène se rappelle : "Je connais certaines personnes décrites dans le livre et j’ai travaillé avec quelques-unes d’entre elles. Et il y en a d’autres avec qui j’aimerais travailler, déclare Aaron Sorkin. Il y aussi deux amis à moi. Je refuse de faire un film qui colporte des ragots à leur sujet, ou même au sujet de qui que ce soit d’ailleurs."
Si Le Grand jeu est un film biographique, Aaron Sorkin a pris soin de réécrire les personnages secondaires afin de préserver leur anonymat. Il affirme : "Il a toujours été important à mes yeux que l’on ne puisse pas jouer les détectives pour essayer de deviner qui se cache derrière tel ou tel personnage. Du coup, chacun des seconds rôles est un mélange de plusieurs personnes réelles."
Le Grand jeu a été tourné en numérique, mais la directrice de la photographie Charlotte Christensen a travaillé avec Panavision pour se procurer des objectifs anamorphiques datant des années 1960, qui ont permis d’atteindre la profondeur de champ idéale et d’adoucir l’arrière-plan lors des prises en studio. "Le film se déroule sur fond de montagnes du Colorado, d’Hollywood et de New York, trois décors qui dégagent à la fois une dimension glamour, gigantesque, mais aussi très solitaire", explique Aaron Sorkin. |
La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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