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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Avec Le Dindon, Jalil Lespert adapte le classique homonyme que Georges Feydeau a écrit en 1896. La pièce avait déjà été portée à l'écran par Claude Barma en 1951.
Si Jalil Lespert adapte Feydeau, c'est parce qu'il apprécie son écriture irrévérencieuse et le surréalisme qui plane sur ses textes : "Feydeau a su créer une mécanique assez imparable dans laquelle ses personnages souvent assez égoistes se retrouvent pris au piège : ils ressemblent à des pantins désarticulés, tributaires d’une histoire irréelle qui semble les dépasser… À la fin du XIXe siècle et au début du XXe c’était très avant-gardiste". Le réalisateur retrouve chez l'auteur l'esprit des comédies françaises des années 60 portées par Bourvil ou de Funès avec lesquelles il a grandi.
Guillaume Gallienne connaissait bien le rôle de Monsieur de Pontagnac puisqu'il l'a joué sur scène plus de 150 fois dans une adaptation du Dindon mise en scène par Lukas Hemleb pour la Comédie Française. Jalil Lespert en avait d'ailleurs vu une captation sauf que Gallienne n'était pas sur scène ce soir-là. C'est lors de l'écriture du scénario avec le comédien que le réalisateur a appris qu'il avait interprété ce personnage auparavant.
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La Critique de SevenArt
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