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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ce n'est pas la première fois que le célèbre roman d'Agatha Christie paru en 1934 est porté à l'écran. Il y eut une première adaptation par Sidney Lumet en 1974, un téléfilm en 2001 avec Alfred Molina et Leslie Caron et même une mini-série japonaise, Oriento kyuukou satsujin jiken.
Durant ses 50 ans de carrière, Agatha Christie a signé 66 romans policiers, 150 nouvelles et plus de 20 pièces de théâtre, qui se sont vendus à deux milliards d’exemplaires. Seule la Bible et William Shakespeare ont fait mieux ! Ses romans ont été édités dans plus de 100 langues, ce qui fait d’elle l’auteure la plus traduite de tous les temps.
Alors qu'elle préparait son diplôme en pharmacie, la confection des remèdes suscite chez elle un intérêt pour l’utilisation des poisons, lesquels jouent un rôle central dans son premier roman, La mystérieuse affaire de Styles.
Elle a eu l'occasion, à de nombreuses reprises, de se rendre au Moyen-Orient à bord de l’Orient-Express. Ses voyages lui inspirèrent plusieurs romans tels que Le Crime de l’Orient-Express, Mort sur le Nil, Meurtre en Mésopotamie, Rendez-vous avec la mort ou encore Rendez-vous à Bagdad.
En 1971, Agatha Christie a été élevée au rang de Dame Commandeur de l’Ordre de l’Empire britannique, l’une des plus hautes distinctions britanniques.
Le Crime de l'Orient-Express présente la particularité d'avoir été filmé en 65 mm, un format devenu de plus en plus rare avec l'arrivée du numérique. Il s'agit d'un choix esthétique car le 65 mm offre une incroyable netteté de l'image et permet "une définition en termes de gamme chromatique, de nuances et de contrastes qui, selon certains, est très similaire à la vision humaine. Pour simplifier, cela signifie que l’image est plus nette, plus riche et plus colorée, c’est comme si on était transporté dans le film" selon Kenneth Branagh.
Le Crime de l'Orient-Express comporte le plus long plan Steadicam jamais réalisé en 65mm. Kenneth Branagh commente : "Cette séquence a été très complexe à réaliser sur le plan logistique parce qu’elle met en scène tous les acteurs du film et un train qui entre en gare puis repart. Il s’agit en outre d’un plan-séquence de près de cinq minutes filmé au Steadicam qui s’achève à 30 mètres du sol, obligeant toute l’équipe à se dissimuler. J’ai pris beaucoup de plaisir à le tourner car je trouve qu’il sied particulièrement à l’intrigue, qui reste d’une certaine manière en suspens."
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La Critique de SevenArt
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