SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
La naissance du projet est à mettre en parallèle avec le désir de Mohamed Hamidi de faire un road-movie à travers la France. Le metteur en scène explique en effet qu'il connait bien les campagnes du pays parce qu'à 17 ans il était animateur de colonies. Par ailleurs, le comédien Fatsah Bouyahmed qu'il connait depuis 10 ans lui avait parlé de l'un de ses oncles passionné d’agronomie et qui lui demandait régulièrement des informations sur le Salon de l’Agriculture qu’il aurait adoré visiter. Mohamed Hamidi confie également qu'il a été marqué par La Vache et le prisonnier ainsi que les road movies Little Miss Sunshine et Une histoire vraie. De ces trois facteurs est né La Vache.
Mohamed Hamidi retrouve Fatsah Bouyahmed qui jouait déjà dans Né quelque part, le dernier film du réalisateur avant La Vache. Le choix de cet acteur a été immédiat d'une part pour sa capacité à véhiculer à la fois de l’humour, de la poésie et de la sincérité mais aussi parce qu'il n'est pas connu. Ainsi, le spectateur lambda a vraiment l’impression que ce petit paysan sort du bled avec sa vache.
Comme Mohamed Hamidi ne pouvait ni emmener une vache française au Maroc (où la partie qui se déroule au bled algérien a été tournée), ni une vache marocaine en France, l'équipe a dû choisir trois vaches identiques, une dans chaque pays et une doublure au cas où…
Mohamed Hamidi voulait que La Vache soit une sorte de fable possédant un aspect politique induit et non démontré. Le réalisateur a cherché, via cette histoire, à montrer que les individus, d’où qu’ils viennent, peuvent cohabiter et partager des choses malgré les différences de culture, de statut social ou de religion. Une portée très en phase avec notre époque d'après lui.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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