SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Ce film La Planète des singes : l'affrontement débute là où Les Origines s'était arrêté. À la fin du volet précédent, les singes se libéraient de leur captivité au moment où un virus mortel créé par les humains se répandait dans le monde. César, leader bienveillant des singes, a conduit les siens en sécurité à Muir Woods, non loin de San Francisco. Hors de cette enclave, une pandémie, la grippe simienne, a décimé la plus grande partie de l’espèce humaine. La civilisation a décliné peu à peu, et l’humanité a pratiquement disparu.
Le réalisateur original du prequel de La Planète des singes ne reprend pas la tête de ce second volet. En effet, Rupert Wyatt avait entre-temps prévu de porter à l'écran un remake du Flambeur, de Karel Reisz. C'est alors Matt Reeves qui récupère le projet, alors que celui-ci a déjà, sur ses quatre longs-métrages réalisés, un précédent dans le domaine de la science-fiction.
La Planète des Singes : L'Affrontement n'est pas encore sorti qu'en janvier 2014, le producteur Peter Chernin précise que Matt Reeves réalisera et coécrira la suite du prequel avec Mark Bomback, qui signa le scénario final de ce deuxième opus. Le film, encore sans titre, est prévu pour juillet 2016, si Reeves ne quitte pas le projet comme l'avait fait son prédécesseur Rupert Wyatt, considérant que les délais de production étaient trop courts pour que le film sorte en mai 2014.
Ces dernières années, très peu de films affichant Andy Serkis sous sa véritable apparence ont été recensés. Comme pour éviter qu'on le reconnaisse, le comédien aux mille visages a privilégié les rôles demandant une "performance capture". Gollum dans Le Seigneur des anneaux, Capitaine Haddock dans Les Aventures de Tintin: Le secret de la licorne, ou encore King Kong, dans la version de Peter Jackson, c'était lui ! Et ce nouvel épisode de La Planète des Singes ne déroge pas à la règle.
Pouvoir filmer la performance capture sur site et travailler avec tous les autres acteurs permet d’obtenir une interprétation plus cohérente.
Ces dernières Les "singes" étant incarnés par de véritables acteurs grâce à la technologie de capture de mouvement, un dispositif important a été mis en place pour suivre les déplacements des comédiens. 35 personnes étaient affectées dans chaque équipe, une cinquantaine de caméras mo-cap et huit caméras témoins tournaient constamment pour filmer tout ce qui touchait aux personnages-singes. Pour Joe Letteri, superviseur senior des effets visuels, "cette technologie de pointe ne doit jamais primer sur l’histoire et le jeu des acteurs, mais au contraire se mettre à leur service. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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