SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
En choisissant Edouard Baer pour jouer Paul, "un vieux punk" sympathique, Michel Leclerc avait comme désir de proposer à cet acteur autre chose qu’un emploi de séducteur sophistiqué : un personnage ayant davantage « les pieds dans la terre » et plus proche d’un milieu populaire.
La Lutte des classes marque la première collaboration entre Michel Leclerc et le directeur de la photographie Alexis Kavyrchine, qui a récemment oeuvré sur La Douleur d’Emmanuel Finkiel. Ensemble, les deux hommes ont cherché à faire un film se déroulant en banlieue mais qui ne soit pas glauque. Il raconte : "Je voulais qu’il y ait de la gaieté dans la manière de filmer les lieux, de la couleur, sans dealer à tous les coins de rue. Malgré les problèmes qu’il ne faut pas nier, Bagnolet est un coin où il fait bon vivre, où la municipalité organise des fêtes dans un vrai souci de mixité. Il n’y a pas une once de violence dans la banlieue que je montre, c’est hyper important. Mon désir, c’était d’avoir une vision du dedans, pas du dessus."
Le scénario de La Lutte des classes est né d'une situation que Michel Leclerc et la scénariste Baya Kasmi ont réellement connue. Le metteur en scène précise : "Comme Sofia et Paul, on a vécu à Bagnolet, pendant dix ans, dans une petite maison avec jardin, et puis notre fils a commencé à avoir des problèmes à l’école, ça nous a plongé dans une grande angoisse, un dilemme intime. C’était en 2015, au moment de Charlie, dans cette même école Jean Jaurès où j’ai tourné La Lutte des classes…".
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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