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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Pour les besoins du film, Jean-Paul Salomé a rencontré deux interprètes judiciaires. "L’un nous a aidé à traduire le scénario en arabe – il connaissait notamment les termes utilisés par les dealers. Et puis une femme, qui traduit le portugais, spécialisée dans ce qui vient du Brésil, des affaires de faux papiers, des trafics de cocaïne. Elle nous a montré comment elle travaillait, parfois en traduisant les écoutes téléphoniques chez elle. Il lui arrive de repasser en écoutant les bandes ! Les deux ont pu assister à des opérations policières comme l’interpellation au début du film. C’est un métier longtemps négligé : les interprètes judiciaires ont longtemps été payés sur le budget "timbres et enveloppes" du Ministère de la Justice. Et ils ne cotisaient à aucune retraite. Cela n’a changé que très récemment… Cela justifiait que Patience soit inquiète pour son avenir ! J’ai aussi rencontré des flics de la brigade des stupéfiants : pour voir comment ils travaillent avec les traducteurs, comment se passent les interrogatoires, les moments d’attente, les nuits d’écoute. Je leur ai fait lire des scènes, ils m’ont fait des remarques intéressantes.
La Daronne est l'adaptation du roman du même nom d’Hannelore Cayre. C’est un roman que le réalisateur Jean-Paul Salomé a beaucoup aimé, notamment son ton, son mélange de comédie et de polar.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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