VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le tournage s'est déroulé d'octobre à décembre 1974 à Indian Dunes, La Crescenta, Los Angeles et Ontario, en Californie
Critique acerbe de toutes les dérives de la société américaine telles que pouvait les imaginer un réalisateur de 1975, Death Race 2000 est souvent considéré comme un des plus brillants films de série B. Assez visionnaire, ce film imagine l'engouement extrême des gens pour la télé-réalité, même poussée à la barbarie.
Mary Woronov, qui interprète Calamity Jane, ne sachant pas conduire au moment du tournage, un pilote conduisait à sa place
Le rôle de Frankenstein fut proposé à Peter Fonda, qui trouva le film ridicule.
Sylvester Stallone a participé à l'écriture de certains de ses dialogues.
La suite officielle est sortie en 2017, il s'agit de La Course à la mort de l'an 2050.
Ce film a également inspiré les créateurs du jeu vidéo Carmageddon (1997), lui aussi très controversé. Cependant, le genre du jeu de course, notamment dans sa branche arcade, a proposé bien d'autres titres où, à l'image du film, tous les coups sont permis, des simples coups de parechocs aux armes lourdes, comme dans Blur, Split/Second Velocity, Hot Wheels Turbo Racing. On peut aussi citer Destruction Derby(entièrement tourné vers la destruction), FlatOut ou dans une moindre mesure MotorStorm. La plus connue des licences mélangeant action et course reste Burnout, basé sur la vitesse et les crashes, où l'agressivité envers ses adversaires est une clé pour remporter les courses.
Une reprise, Course à la mort (Death Race), a été réalisée par Paul W. S. Anderson en 2008. Jason Statham reprend le rôle de Frankenstein et Tyrese Gibson celui de Machine-Gun Joe. David Carradine y fait une apparition vocale clin d’œil. Ce film sera suivi de Death Race 2 sorti directement en vidéo en 2011, puis de Dead Race 3 en 2013.
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La Critique de SevenArt
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
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« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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