SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
C'est le producteur Thomas Langmann qui a proposé à Yvan Attal de faire un film avec lui ; ce dernier a alors sauté sur l'occasion pour lui parler de Ils sont partout, un film "un peu particulier" selon le cinéaste. Le sujet n'a pas fait peur à Langmann, donnant carte blanche au metteur en scène. Attal s'est ensuite attelé à écrire le scénario avec Emilie Frèche, déjà responsable du scénario de 24 jours d'Alexandre Arcady, le film retraçant l'affaire Ilan Halimi : "Emilie Frèche s’est imposée. Elle avait déjà beaucoup travaillé sur le sujet. On a écrit ce scénario et puis tout d’un coup est arrivé la tragédie de Charlie Hebdo et l’hyper cacher. Le scénario était déjà dans les chaînes en lecture. Le jour où je suis arrivé chez France 2 pour défendre le projet, il y avait dans le bureau une télé avec la prise d’otages en direct de l’hyper cacher... Mais mon film n’est pas du tout un film d’actualité mais un film de société. Il parle du malaise que je ressens en tant que juif, dans mon pays, la France", confie le réalisateur.
Yvan Attal a eu envie de faire ce film dont le sujet est "l'antisémitisme, pas les juifs", selon son réalisateur, après les attentats meurtriers commis par Mohamed Merah à Toulouse en 2012. Cela lui trottait tout de même dans la tête depuis un long moment, bien avant l'affaire Ilan Halimi de 2006 :
"On ne choisit pas son sujet c’est lui qui vous choisit. Il s’est imposé à moi malheureusement quelques années plus tard. Avec Mérah et Halimi... Avant Janvier 2015. La colère est montée. Celle de ne pas être assez entendu, celle de ne pas se sentir un Français comme les autres. Donc j’ai eu envie d’en parler, mais la parole je ne pouvais la prendre qu’au cinéma. Il était temps à 50 ans de faire un film pour parler de quelque chose qui me tenait réellement à coeur !" |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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