SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Scott Cooper a écrit le scénario de Hostiles pour Christian Bale, un ami proche qu’il avait déjà dirigé dans Les Brasiers de la colère. Lorsque l’acteur a lu le script, il a été frappé par la profonde humanité de l’histoire, dont certains éléments ont trouvé un écho particulier en lui. Il raconte : "Ces évènements auraient pu se produire à n’importe quelle période de l’histoire américaine. Fort Berringer est pour moi une sorte d’Abou Ghraib où les conditions de détention sont inhumaines et où les geôliers sont de simples soldats qui n’ont reçu aucune formation de gardiens de prison."
Une part significative des dialogues du film est prononcée dans la langue des Cheyennes du Nord, un dialecte rarement entendu. C’est au réalisateur Chris Eyre qu’a incombé la tâche de trouver des descendants cheyennes qui parlaient couramment ce langage et étaient capables de l’enseigner, et qui savaient également comment s’exprimaient leurs ancêtres à la fin du XIXe siècle. Chris Eyre commente : "Il était primordial pour Scott Cooper et Christian Bale que nous, les consultants cheyennes, puissions répondre à toutes leurs questions, mais ce n’est pas parce qu’on est amérindien qu’on a la science infuse ! C’est pourquoi j’ai fait appel au chef Phillip Whiteman et à Donald Shoulder Blade. Entendre les personnages interprétés par Christian Bale, Wes Studi et Rosamund Pike parler le bon dialecte et ce de manière respectueuse est absolument formidable. C’est une immense victoire de savoir que des millions de gens vont pouvoir entendre cette langue devenue si rare."
L’équipe a choisi de tourner Hostiles en décors naturels au Nouveau-Mexique et dans le Colorado pour la beauté brute des paysages et leur caractère évocateur, afin de faire revivre un monde à mi-chemin entre la modernité et un Far West où les dernières étendues sauvages sont sur le point de disparaître à jamais.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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