SYNOPSIS
|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le projet Ghost In The Shell version ciné a commencé à émerger début 2008, quand Dreamworks, la société de Steven Spielberg, achète les droits du manga de Masamune Shirow. Admiratif du travail du célèbre mangaka, le cinéaste met en route le chantier en compagnie du scénariste Jamie Moss et du producteur Avi Arad. Au départ, il est question d'un film dans la même veine esthétique que Sin City ou 300. Le projet est ensuite mis en stand-by pendant plusieurs années avant d'être ressuscité par Dreamworks en 2014, qui annonce le recrutement de Rupert Sanders à la réalisation. Le metteur en scène a d'ailleurs été contacté par Spielberg en personne.
Avant que Le Major ne prenne les traits de Scarlett Johansson, le rôle devait être incarné par Margot Robbie. Cette dernière a décliné l'offre pour se glisser dans les collants d'Harley Quinn dans Suicide Squad.
Le casting de Ghost In The Shell a dû faire face à une polémique de white washing. En effet, de nombreuses voix se sont élevées, notamment de fans, s'insurgeant du choix de Scarlett Johansson pour camper un personnage asiatique, le Major Motoko Kusanagi. L'actrice est revenue sur la polémique dans une interview : "Je ne pourrais pas prétendre jouer le rôle d’une personne de race différente. La diversité est une chose essentielle à Hollywood, et jamais je n’accepterais de jouer un rôle qui pourrait offenser les autres. Rares sont les franchises qui possèdent une femme en tête d’affiche et, d’un coup, je ressens la pression que ça apporte."
Ghost In The Shell est l'adaptation des longs-métrages animés Ghost In The Shell et Innocence, sortis en 1995 et 2004. Le film reprend des éléments de l'intrigue de ces 2 animés réalisés par Mamoru Oshii. Il intègre également des éléments de la série Stand Alone Complex. À la base, Ghost In The Shell est un manga culte créé par Masamune Shirow en 1989.
Ghost In The Shell a été tourné à Wellington en Nouvelle-Zélande. L'essentiel du tournage en prises de vue réelles s'est déroulé aux Stone Street Studios, plateaux de productions de pointe construits par Peter Jackson au cœur de Wellington, qui ont permis à l'équipe du film de piloter toute la mise en scène sans jamais avoir à circuler en voiture.
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly