SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le cambriolage de la salle des coffres de la Hatton Garden Safe Deposit Limited (à Londres) en avril 2015 a été étiqueté par beaucoup comme étant le plus gros casse de toute l’histoire judiciaire britannique. Cette assertion est-elle fondée ? "Je ne sais pas", répond le juge Christopher Kinch, conseiller de la Reine, lors de la condamnation du gang responsable du casse. "Cependant il est clair que le cambriolage en question est tout à fait à part que ce soit par son ambition, la minutie avec lequel il a été planifié, le niveau de préparation et d’organisation de l’équipe qui l’a exécuté, ou la valeur des biens dérobés."
Michael Caine prête ses traits à Brian Reader, décrit comme « le dernier des gentlemen cambrioleurs ». Il est aussi célère qu’un malfaiteur peut l’être. C’est l’un des voleurs de diamants les plus prolifiques, impliqués dans des braquages et cambriolages totalisant plus de 200 millions de livres sterling de butin. Son nom est associé aux plus célèbres coups de son époque. Avant ses 32 ans, Reader faisait partie d’un gang d’as de la cambriole surnommés les Taupes Millionnaires, ainsi baptisés parce qu’ils avaient creusé une galerie jusqu’à une chambre forte de la Lloyds à Londres et pillé quelque 268 coffres en 1971. Il a aussi été associé au coup de la Brink’s- MAT en 1983, le gang dérobant ce qui représenterait aujourd’hui 145 millions de dollars en lingots d’or. Originaire de la partie sud de Londres, de condition modeste, c’était un homme qui, au sommet de son succès, savait jouir des bonnes choses de la vie – les restaurants coûteux, les sports d’hiver, la voile l’été. Un homme important, admiré de ses pairs.
Duncan Campbell, dont le reportage a inspiré le film, est le correspondant en chef du département police-justice du quotidien britannique. Vétéran du journalisme d’investigation, il écrit sur le crime depuis plus de trente ans, et, ce faisant, a tissé des liens étroits avec le monde de la pègre.
L’affaire Hatton Garden a captivé le public, trustant la une des journaux à partir du moment où elle a été découverte jusqu’à la capture et à la condamnation du gang. Il était inévitable qu’elle se fraie un chemin dans la pop culture. Pour le producteur Tim Bevan, la graine a été plantée par quelqu’un d’inattendu. "Daniel Day Lewis m’a appelé et m’a dit « Tu as entendu parler de cette histoire ? Ça ferait un super film. » Et j’ai dit « Tu veux jouer dedans ? » Et il a répondu « Non, mais ça ferait quand même un super film ! » Et très vite je me suis dit « Il a raison. Il faut faire quelque chose. »"
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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