SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Dans le film, c'est l’épouse et non la maîtresse qui propose la garde alternée. Un choix logique d'Alexandra Leclère parce qu'il fallait, dans le film, que l’homme accepte (sinon il n’y avait pas de film). "Cela ne pouvait donc venir que de son épouse, de la « légitime ». C’est d’ailleurs plus une injonction qu’une proposition qu’elle lui fait. Elle propose avec insistance à la maîtresse mais elle impose la situation à son mari : « Je ne vois pas bien ce que tu pourrais dire parce que là, très nettement, je préfèrerais que tu débarrasses le plancher une semaine ! »", précise la cinéaste.
Jean, qui tombe amoureux d’une autre femme, a été construit comme un homme a priori « normal », potentiellement séduisant, mais pas maladivement séducteur "qui couche avec tout ce qui bouge". "Il est professeur de littérature à la Sorbonne et c’est l’amour des livres qui le rapproche de la libraire délicieuse que joue Isabelle Carré. Le film démarrait par leur rencontre dans la librairie. Il pleuvait à torrents, il entrait dans cette librairie. Et coup de foudre. On se retrouvait ensuite neuf mois plus tard quand l’épouse découvrait tous les textos. J’ai choisi de démarrer le film dans le vif du sujet", note Alexandra Leclère.
L’écriture de trois des films d'Alexandra Leclère (Les Soeurs fâchées, Le Prix à payer et Maman) était inspirée d’événements vécus. Avec Garde Alternée, la réalisatrice s'est aussi appuyée sur une situation qu'elle a très bien connue, celle de se faire pincer en flagrant délit d’adultère par SMS interposés. Elle raconte :
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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