EMPIRE OF LIGHT
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Le film a été tourné à Margate, une ville située sur la rive nord du Kent. "J'ai été attiré par cet endroit particulier parce qu'il offrait de nombreuses possibilités par l’ampleur visuelle des paysages. C'est là que J.M.W. Turner a peint ses toiles les plus célèbres, parce que, disait-il, le ciel y était le plus beau d'Europe. C'est là que T. S. Elliot a écrit La Terre vaine, assis sous un abribus juste à l'extérieur du cinéma, donnant sur la plage et la mer grise. Son envergure confère à ce lieu une poésie et une dimension toute cinématographique", explique Sam Mendes. Mais il a surtout choisi Margate parce que le chef décorateur Mark Tildesley y a déniché un parc d’attractions, Dreamland, avec un ancien cinéma et une salle de bal avec une façade impressionnante en art déco, qui ont servi pour les extérieurs du cinéma fictif Empire.
Lorsque Sam Mendes a découvert Dreamland, avec son ancien cinéma et sa salle de bal dénichés par le chef décorateur Mark Tildesley, il a réécrit son scénario pour l’adapter aux décors. Des scènes qui avaient été prévues sur un balcon désaffecté, ont été remaniées pour tirer parti de la salle de bal de Dreamland, et une scène a été ajoutée dans la patinoire de la fête foraine.
Les lieux ont subi une transformation considérable de la part de Tildesley et de son équipe. La salle de spectacle est devenue le cinéma Empire : à l'intérieur, tout, des sièges au matériau recouvrant les murs en passant par l’arc de scène, a été installé par l’équipe des décors. D'autres éléments du bâtiment ont été rafraîchis, dont la salle de bal et les toilettes des dames Art Déco, puis ces décors ont été patinés pour coller à la période où se déroule l'histoire.
Le rôle de Norman, joué par Toby Jones, est projectionniste. Le comédien a appris les rudiments du métier pour donner l'impression d'être un professionnel aguerri. Il note : "Il faut être synchrone pour passer d'un projecteur à l'autre, et accrocher le celluloïd lorsqu'il passe dans le projecteur est une opération minutieuse. Impossible d’acquérir 20 ans de savoir-faire, mais j'en ai appris suffisamment pour avoir l’air meilleur que je ne le suis !"
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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