ELEONORE
Nom Original   ​ELEONORE
Réalisateur   AMRO HAMZAWI
Date de sortie  23/09/2020
Durée   1h24
Genre   COMÉDIE
​Nationalité   FRANÇAISE​

Films Réalisés   1

Nora Hamzawi
ELEONORE

André Marcon
HAROLD GRAZIANI

Dominique Raymond
MARTINE

Julia Faure
HONORINE

Arthur Igual
LUCAS

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​SYNOPSIS
Sous la pression de sa mère et de sa sœur, Eléonore, apprentie écrivain, change de vie et devient l’assistante d’un éditeur spécialisé dans les romances érotiques.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
À 21 ans, Amro Hamzawi part à Los Angeles où il suit des cours de cinéma à l'Université de Californie du Sud, école pour laquelle il a une lettre de recommandation du producteur Moustapha Akkad, marié à l'une des cousines de son père. Une fois ses études achevées et après une bourse obtenue grâce à un court-métrage, il devient assistant d'agent grâce à un programme de formation entre son école et l’agence de talents UTA, qui représente notamment Paul Thomas Anderson, Alejandro Iñárritu et les frères Coen : « Je découvre comment les films se montent, je lis les scénarios, je fais des fiches de lecture, je suis présent durant les rendez-vous téléphoniques ». Hamzawi rencontre ensuite Michel Gondry dont il devient l'assistant sur Eternal Sunshine of the Spotless Mind, puis il est celui de Curtis Hanson sur In Her Shoes et Lucky You. Si cette expérience outre-Atlantique a été un rêve, il décide de rentrer au bout de dix ans à Paris, désireux de se lancer enfin dans la réalisation.


À l'origine, le film devait être produit par Canal+ mais la chaîne s'est retirée quand Nora Hamzawi, qui travaillait sur Le Grand Journal, a suivi l'équipe de Yann Barthès sur TMC dans Quotidien. Finalement, TMC a soutenu le projet, permettant au tournage de se faire.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Si le personnage d’Eléonore, campé par Nora Hamzawi, est intéressant, il est vraiment dommage que le scénario soit pas un peu plus étoffé et que le film ne prenne que tardivement son envol. On reste trop autour des petits problèmes d’Eléonore, on développe à moitié les personnages secondaires et on passe à côté de tout, des décors, des musiques, et de ce qui pourrait être la vie de ces protagonistes une fois leurs névroses mises un peu de côté. C’est un film sur la quête du bonheur qui zoome sur trop sur la quête et pas assez sur le bonheur.
LA NOTE : 5/10

L’HISTOIRE
Si le scénario comporte quelques bonnes surprises, l’ensemble peine tout de même à convaincre, soit parce que les personnages tombent parfois dans la caricature (presque tous), soit parce que l’histoire manque de réelles surprises (presque tout le film). En réalité, il faut attendre la fin du film pour percevoir toute la qualité de ce film, quand les personnages s’émancipent, quand enfin on lève les barrières. Et viennent alors les regrets…
LA NOTE : 5/10

LE JEU
Nora Hamzawi que l’on avait déjà pu voir dans des seconds rôles, se retrouve, avec son frère derrière la caméra, propulsée au premier plan. Si son talent est bel et bien là, elle peine toutefois à occuper l’espace et elle ne peut pas forcément compter sur les seconds rôles. Car si André Marcon apporte beaucoup, Dominique Raymond est emprisonnée dans un rôle étriqué de marâtre, et Julia Faure semble ici être un peu juste. Au final, le scénario ne coche pas toutes les cases, les acteurs n’offrent pas d’excellentes prestations, et le film se heurte à un plafond de verre, celui du film décevant.
LA NOTE : 6/10

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film dure 1h24. C’est court, surtout quand on voit que la partie la plus intéressante du film est la dernière. Les 20 dernières minutes sont l’éclosion d’un film dont on ne faisait qu’entre apercevoir la beauté. On s’en doutait mais à l’image d’Eléonore, la vie semblait bien morne jusqu’à ce qu’enfin elle soit elle-même. Et pour nous aussi c’est assez morne pendant une bonne moitié d’un film qui aurait pu développer plus certains aspects, s’épaissir un peu et offrir un meilleur visage.
LA NOTE : 4/10
La musique est signée Alexandre de La Baume. Beaucoup de musique dans ce film, mais finalement peu qui restent en mémoires, hormis celles de 2 soirées, l’une électro et l’autre avec des morceaux un peu plus datés, comme Christophe et son « J’Ai Entendu la Mer ». On a même un peu de Bach vers la fin du film, au moment où finalement le film se décante un peu, où l’on perçoit un peu d’émotions.
LA NOTE : 4/10

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors sont également à l’image du film ou du scénario. Lors de certains passages, on a quelques surprises, comme la petite librairie bordée d’une rue pavée, parfaitement éclairée de nuit pour offrir au film une de ses meilleures scènes. Mais hormis ces étincelles, les décors sont mornes, comme les bureaux des éditions Aphrodite, comme les logements d’Eléonore ou de sa famille. Mais si les décors ne sont pas marquants c’est d’abord par ce qu’ils ne sont pas mis en valeur. Tout simplement.
LA NOTE : 4/10
Pas d'effets spéciaux. 
​LA NOTE : N/A

La note de sevenart  4.7 / 10

IMDB   5.0 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   4.4 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  1.0 / 10
Sens Critique   4.6 / 10
Avoir à Lire   6.0 / 10
Ecran Large   - / 10
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​La moyenne sans 7  4.2 / 10

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