​CONAN LE BARBARE
Nom Original   ​CONAN THE BARBARIAN
Réalisateur   JOHN MILIUS
Date de sortie  07/04/1982
Durée   2h05
Genre   FANTASTIQUE
​Nationalité   AMÉRICAINE

5Films Réalisés  5

Arnold Schwarzenegger
CONAN

James Earl Jones
THULSA DOOM

Sandahl Bergman
VALERIA

Max Von Sydow
LE ROI OSRIC

Gerry Lopez
SUBOTAI


​SYNOPSIS
Encore enfant, Conan assiste impuissant au massacre de ses parents par le cruel Thulsa Doom, et est réduit en esclavage. Enchaîné à la roue de douleur, il y acquiert une musculature peu commune qui lui permet, adulte, de gagner sa liberté comme lutteur. Désireux d'assouvir sa soif de vengeance, il part accompagné de deux voleurs, Subotai et Valeria, à la recherche de Thulsa Doom...

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Bien qu'ils soient côte à côte durant tout le film, les personnage de Conan et de Valeria ne se parlent qu'à une seule reprise. Cette " événement " intervient lors de leur première rencontre où 5 mots sont en fait échangés: 
- Tu es un garde ?
- Non.​

Malgré de nombreuses scènes dangereuses, Arnold Schwarzenegger et Sandahl Bergman ont réalisé eux-même leurs cascades. En effet, les deux acteurs possédant des mensurations si imposantes, la production a été incapable de trouver des doublures suffisamment ressemblantes.
Le tournage du film a été très éprouvant pour tous les acteurs et particulièrement pour Arnold Schwarzenegger. En effet, son épée était si lourde qu'il pouvait à peine à la porter. En outre, son encombrante armure l'empêchait de s'asseoir correctement et donc de se reposer entre les prises.

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Comment Arnold Schwarzenegger a-t-il pu faire la carrière qui fut la sienne en se faisant remarquer dans ce film ? Ce film qui part dans des délires proches de la parodie est loin de mettre en avant le bodybuilder. On peine à comprendre le fond de l’histoire et on se contente de suivre des hommes quasi préhistoriques dans leur délire de chair et d’acier.
​LA NOTE : 5/10

L’HISTOIRE
L’histoire manque cruellement d’intérêt. En fait c’est tout l’univers de ce film qui manque d’intérêt. Les effets spéciaux, les dialogues, les explications quant aux personnages, tout est un frein à l’attrait pour ce film. On reste sur le bord à contempler le naufrage de cette entreprise d’envergure, tout en notant l’effort de certaines scènes qui sont tout de même réussies.
​ ​LA NOTE : 5/10 

LE JEU
Le jeu est franchement mauvais. Arnold Schwarzenegger n’a jamais été un grand acteur (par le talent) mais ici on touche le fond. Disons qu’il ne pouvait faire que mieux et il parviendra, heureusement pour nous, à faire bien mieux. Mais il n’y a pas que lui. Faute au scénario ? En tout cas, les acteurs sont mauvais.
LA NOTE : 3/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le rythme ne peut être que long, ou lent avec de mauvaises prestations et une histoire peu intéressante. On profite de quelques paysages agréables, mais les satisfactions sont minces et on s’ennuie ferme. 
LA NOTE : 5/10 

La musique du film est signée Basil Poledouris. Le générique est très réussi. Il donne d’emblée une envie de suivre les aventures de ce Conan. C’est d’ailleurs l’une des seules satisfactions de ce fil. A croire que seul le compositeur a travaillé sérieusement. Les musiques collent parfaitement au thème, empiriques, majestueuses, elles apportent fantaisie et intrigue à un film qui ne jure finalement que par ça.
LA NOTE : 7/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
Les décors intérieurs sont toujours aussi réussis. On est réellement plongé à bord des infrastructures spatiales faites de gris et de blanc. En revanche les extérieurs ont plutôt mal vieillis notamment les véhicules touts carrés.
LA NOTE : 6/10 

Un peu moyens. Les vues des vols extérieurs des vaisseaux ont mal vieillis. Les parties intérieures sont elles de très bonne facture. ​   
​ ​LA NOTE : 7/10 

La note de sevenart  5.3 / 10

IMDB   6.9 / 10
Rotten Tomatoes   6.8 / 10
AlloCiné   6.8 / 10
Metacritic   4.3 / 10
Comme au Cinéma  7.5 / 10
Sens Critique   6.9 / 10
Avoir à Lire   7.5 / 10
Ecran Large   10 / 10
​
​La moyenne sans 7  7.1 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN