SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Avec ce film, Edward Norton, passe pour la seconde fois derrière la caméra après la comédie romantique Au nom d'Anna sortie en 2000, où il donnait la réplique à Ben Stiller et Jenna Elfman. Il a commencé l'écriture de Brooklyn Affairs il y a longtemps, mais a eu une panne d'inspiration pendant plusieurs années. Le cinéaste se rappelle : "Mon ami Toby Emmerich qui est maintenant à la tête de Warner Bros. mais qui avant cela travaillait chez New Line m'a encouragé : "c'est une bonne idée, tu dois aller plus loin, et tu dois jouer dans le film" et j'ai suivi ses conseils jusqu'en 2012. Puis New Line a rejoint Warner Brothers et Toby devait y faire des films difficiles, des comédies, pas Brooklyn Affairs. Mais il a été mon sauveur, en insistant pour que ça se fasse mais ça n'a pas été le cas. Trouver le bon casting m'a pris plusieurs années, puis Toby a pris la tête de Warner et nous avons enfin pu finir le film."
Edward Norton s'intéresse au syndrome de Tourette, ce trouble neurologique qui se caractérise par des tics, depuis des années. Il explique : "Il y a d'excellents documentaires sur les gens qu'elle touche. Ce qui a vraiment été libérateur si l'on peut dire, et qui sera confirmé par les malades de la Tourette, c'est qu'elle est différente pour chacun. Elle est individuelle, elle n'a pas qu'une seule façon de s'exprimer, donc vous ne pouvez pas mal la représenter. Je dirais qu'il m'a fallu développer une compréhension, un sens de ce que ma propre combinaison de détails allait être. Honnêtement, cela a dû prendre deux ans."
Edward Norton a cherché à faire en sorte que le paysage urbain nocturne du film noir de Brooklyn Affairs se mêle à l’iconographie emblématique du New York des années 1950, et que le quotidien banal des quartiers populaires de Brooklyn tranche avec les hautes sphères du pouvoir à Manhattan.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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