SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Boule et Bill est la toute première adaptation au cinéma de la célèbre bande dessinée éponyme créée par Jean Roba en 1959, et dont Laurent Verron a repris les flambeaux depuis 2003. Il s'agit d'une adaptation en réel, c'est à dire avec de vrais acteurs, et un vrai chien dans le rôle de Bill.
La difficulté, concernant cette adaptation, était de créer une vraie histoire, une vraie trame narrative, tout en développant certains gags de la bande dessinée. Pour cela, les cinéastes ont choisi de remonter à la source, et de partir du moment où les parents de Boule décident d'adopter un chien dans le but de faire plaisir au petit garçon (pour aboutir à la famille représentée dans la BD, dont Bill, le chien, est un membre à part entière).
Il s'agit aussi, dans le film Boule et Bill, de dépeindre une époque, avec tout ce qu'elle implique de caractéristiques sociales, ces dernières étant notamment retranscrites dans les rapports entre les personnages du père (Franck Dubosc) et de la mère (Marina Foïs) : "En 1976, même si 1968 était passé par là, tout n’avait pas changé dans le quotidien de la France. Le mari qui partait travailler et la femme au foyer restaient une réalité. Cela nous a entre autres permis de développer toute une thématique sur cette femme en demande d’émancipation, qui veut vraiment être considérée comme l’égale de son époux. On parle de l’époque sans basculer dans un film social mais en créant une opposition entre le père et la mère assez réjouissante", précisent les metteurs en scène.
Le duo de réalisateurs a décidé de placer l'action du film en 1976. Un choix déterminé par deux facteurs, l'un lié à leur propre histoire, l'autre à l'histoire de la BD : "Nous avons choisi de situer l’histoire en 1976 parce que c’est une époque où Alexandre et moi avions une dizaine d’années", raconte Franck Magnier, en poursuivant : "Mais aussi parce que c’est un âge d’or de « Boule & Bill ». Si la B.D. apparaît dans les années 1960, les pages les plus emblématiques sont créées dans les années 1970. Cela nous permettait d’y associer notre propre mémoire." |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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