SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Wesley Snipes avait été attaché au projet dans les années 90. Il avait même proposé un script à la Columbia Pictures à l'époque. L'acteur a finalement pris une autre direction, campant un autre super-héros, Blade.
La maison d’édition Marvel Comics, dont l’audace créative a fait la renommée, présente depuis 1939 toute une panoplie de super-héros, à l’instar de l’incontournable Black Panther, dont la première apparition remonte à 1966, avec la publication du 52e numéro de la revue Fantastic Four, Vol. 1. Ce personnage imaginé par Stan Lee et Jack Kirby a rapidement conquis le public, par delà les clivages ethniques et culturels. Au fil des ans, le succès de la série ne s’est pas démenti, comme en attestent les nombreuses nouvelles publications dont elle a fait l’objet, notamment celles du réalisateur Reginald Hudlin ou du journaliste Ta-Nehisi Coates.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, le Wakanda n’est pas un pays pauvre. C’est l’unique producteur du vibranium, un métal extrêmement résistant qui prête au bouclier de Captain America son caractère indestructible. Ulysses Klaue (Andy Serkis) n’aspire qu’à en prouver l’existence et à en exploiter les propriétés. Depuis des générations, le vibranium constitue une ressource extraordinaire pour le peuple wakandais et tient une place essentielle dans sa culture. En raison de son efficacité quasi absolue, il entre dans la fabrication du costume de Black Panther ou du bouclier de Captain America. Il sert aussi de source d’énergie pour alimenter tout le pays. Les atouts qui en découlent – technologie, expertise, richesse et pouvoir – sont impressionnants et vont bien au-delà de ce que nous pourrions imaginer aujourd’hui.
Ils font du Wakanda une véritable grande puissance, en dépit de sa politique isolationniste. En observant de plus près cet État fictif, on découvre une société futuriste empreinte de mysticisme et profondément enracinée dans les traditions africaines. Avec un tel potentiel à explorer, la transposer sur grand écran était une réelle gageure créative pour l’équipe du film. "Pour Black Panther et le monde du Wakanda, il s’agissait de trouver quelques grands repères réalistes", résume Nate Moore. "Ce qui rend à nos yeux cet univers crédible, tout en créant quelque chose de passionnant et de tout à fait inédit." La chef décoratrice du film, Hannah Beachler, qui s’essayait pour la première fois au monde des comics, s’est emparée de cette occasion unique d’élaborer et de décliner un paysage aux multiples facettes, entièrement façonné par sa ressource clé, et associant esthétique africaine traditionnelle et modernité extrême.
Pour Black Panther, Marvel a vu les choses en grand ! La nouvelle réalisation de Ryan Coogler a été tournée en IMAX dans un format large, mais la version cinéma classique tronquera l'écran. L'idée est bien entendu de pousser les spectateurs à voir le film dans ce format plus spectaculaire mais aussi plus onéreux.
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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