BIENVENUE A MARWEN
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Bienvenue à Marwen s'inspire du documentaire Marwencol réalisé par Jeff Malmberg en 2010. Les deux œuvres se basent sur la vie de Mark Hogancamp. Ce dernier s’est fait tabasser, dans un bar de Kingston, NY, en 2000. Dès son réveil du coma, il construit avec obsession une ville du temps de la Deuxième guerre mondiale. Il peuple son lieu imaginaire avec des poupées représentant sa famille et ses amis et explique, à l'aide de mini drames, leurs relations variées. Ce jeu et les photographies qu'il prend aident Mark à améliorer la coordination de ses mains et de ses yeux, endommagés depuis l'accident, et de gérer les blessures psychologiques provoquées par l'attaque. Cette auto-thérapie confère à Mark une force physique et mentale ainsi que de l'endurance pour son long voyage éprouvant vers la réalité.
Mark Hogancamp s’est fait sauvagement agresser par cinq hommes aux abords d’un bar en avril 2000 parce qu’il avait raconté à l’un d’eux durant la soirée qu’il aimait porter des chaussures de femmes. Depuis qu’il s’est remis de ses blessures, Mark s’exprime plus librement en ce qui concerne son expression de genre qui fait partie intégrante de sa personnalité et de la façon dont il est représenté dans le film.
Parce que lui-même a choisi de ne pas poser de mots sur cette part de son identité de genre, les créateurs du film ont respecté ce choix. Leur opinion est que Hogancamp est exactement qui il est, et n’a ni besoin ni le souhait d’être défi ni par les autres. Toujours est-il que l’agression qui lui a presque coûté la vie était motivée par la haine envers les individus qui ne se conforment pas à une expression de genre binaire et normative. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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