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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Si vous avez vu (et apprécié) Conjuring : Les dossiers Warren, le terrifiant petit minois d’Annabelle ne doit pas vous être étranger. La poupée maléfique trônait dans la "salle des trophées" du couple d’exorcistes et avait fait une apparition plus que remarquée dans le film de James Wan, si bien qu’en novembre 2013, fut annoncée la production d’un spin-off centré sur le personnage. Aussitôt dit, aussitôt fait !
Pour diriger cet épisode dérivé, c’est vers John R. Leonetti que les studios se sont dirigés. Un choix tout à fait logique, sachant que le cinéaste, chef opérateur de formation, a assuré la photographie de nombreux films d’épouvante dont… Conjuring !
Coïncidence fortuite ou pur hasard, la poupée Annabelle porte le même prénom que l'actrice principale du film : Annabelle Wallis.
Même s'il n'est pas derrière la caméra pour Annabelle, James Wan, le réalisateur de Conjuring a suivi de près la mise en place du projet en participant à sa production.
Annabelle n'est pas fictive, elle est bien réelle. Et dans la vie courante, cette poupée possédée est aussi terrifiante que sa description dans Conjuring. D’après les époux Warren (les héros de Conjuring), la poupée fut offerte à une petite fille par sa mère dans les années 70. Faite de chiffon et non de porcelaine comme dans les films, elle ne cessait de se déplacer et lancer d’étranges messages. Un jour, elle tenta même d'étrangler quelqu'un. Pour élucider le mystère qui entoure la poupée, les Warren ont été dépêchés chez les propriétaires, et ces derniers n’ont pas hésité à s’en débarrasser. Le couple d'exorcistes conçut donc une boîte spéciale et l'y enferma.
Deux poupées ont été réalisées par le même artiste que pour le film Conjuring : Les dossiers Warren. La première, neuve, blanche et immaculée, a un aspect innocent et agréable. La deuxième poupée, sombre et abîmée, est utilisée à partir du moment où le surnaturel s’installe chez le couple Mia/John.
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La Critique de SevenArt
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