​AMITYVILLE 2 : LE POSSÉDÉ
Nom Original   ​THE AMITYVILLE II : THE POSSESSION
Réalisateur   DAMIANO DAMIANI
Date de sortie  05/01/193
Durée   1h44
Genre   HORREUR
​Nationalité   AMÉRICAINE

Films Réalisés  14
dont
UN GÉNIE, DEUX ASSOCIES, UNE CLOCHE (1975)

James Olson
LE PÈRE ADAMSKY

Burt Young
ANTHONY MONTELLI

Rutanya Alda
DOLORES MONTELLI

Jack Magner
JOHNNY MONTELLI

Andrew Pine
LE PÈRE TOM


​SYNOPSIS
Les Montelli, une gentille famille de la middle-class américaine succèdent aux Lutz dans la maison du diable d'Amityville.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Contrairement au premier film, celui-ci a été majoritairement tourné dans les studios Churubusco au Mexique. Cependant, comme pour le premier volet, la maison de Toms River dans le New Jersey a été utilisée, car les autorités d'Amityville n'ont pas autorisé les tournages
George Lutz, qui a été l'un des propriétaires de la maison au cœur de l'affaire d'Amityville, voulait que cette suite s'inspire de l'ouvrage The Amityville Horror Part II de John G. Jones, mais le producteur Dino De Laurentiis avait signé un contrat avec American International Pictures pour utiliser le livre Murder in Amityville de Hans Holzer, qui était plus centré sur les meurtres commis par Ronald DeFeo Jr.. George Lutz poursuivit Dino De Laurentiis en justice mais perdit le procès. Cependant, il obtint que la mention « This film has no affiliation with George and Kathy Lutz » (« Ce film n'a aucun lien avec George et Kathy Lutz ») soit inscrite sur les affiches du film.​


Les experts en criminologie et phénomènes paranormaux, Ed et Lorraine Warren, furent consultés en 1976 pour étudier le caractère « surnaturel » de la vraie maison d'Amityville acquise par la famille Lutz. Ils ont par la suite été engagés comme consultants en démonologie pour Amityville 2 : Le Possédé

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
En général, les sagas de films d’horreur débutaient par un opus novateur, marquant, dérangeant, qui deviendra progressivement culte, même s’il ne s’agit pas d’un chef d’œuvre. Il y a eu L’EXORCISTE, le premier du genre, puis les FREDDY, JASON, et plus récemment SCREAM ou SOUVIENS-TOI L’ETE DERNIER. A chaque fois le premier film était vraiment terrifiant ou impressionnant. La suite se dégradait en revanche bien vite. Mais avec AMITYVILLE, le premier film marque déjà le pas et n’atteint franchement pas des sommets. Et le 2nd opus prend la trajectoire habituelle et plonge. 
​LA NOTE : 4/10

L’HISTOIRE
On ne reprend pas les mêmes, mais l’histoire est franchement ressemblante. En fait elle colle au fait divers qui précédait ce que relate le premier film. Au final le scénario est d’un grande faiblesse et d’une grand invraisemblance.
​LA NOTE : 3/10 

LE JEU
Les acteurs sont forcement mauvais avec ce type de film et cette qualité de scénario. On retrouve une tête connue, Burt Young, le beau frère de Rocky, toujours aussi bougon, toujours aussi désagréable, rustre et paumé. Et à part ça rien. Les autres acteurs sont inconnus au bataillon et ce n’est pas avec ce film et ces prestations qu’ils vont en sortir.
LA NOTE : 4/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
Le film ne dure qu’1h44 et pourtant cela semble une éternité tant on oscille entre les scènes d’une longueur inavouable et celles où l’on manque d’éclater de rire. La plupart des films d’horreur vieillissent mal, celui-ci est en tête de liste, inévitablement. 
LA NOTE : 4/10 

La musique est signée Lalo Schifrin. On retrouve le thème de la saga, convenable, mais en dehors de cette petite mélodie, rien. Le vide sidéral. On a bien les musiques angoissantes, mais sur des scènes oscillant entre le burlesque et la série Z, elles n’ont aucun effet.
LA NOTE : 5/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
On retrouve notre bonne vieille maison d’Amityville et on visite un peu pus le sous-sol où semble se trouver la porte qui mène en enfer. Et visiblement, il semble y avoir derrière la trappe (oui parce qu’avant il y avait un mur mais dans le premier film ils ont détruit le mur, et ils se sont simplement dit : « On va mettre une trappe et voilà ! ») tout un monde que l’on ne va pas s’embêter à explorer ni à sécuriser. Pas la peine.
LA NOTE : 5/10 

On gagne 3 ans, quelques effets spéciaux en plus, surtout à la fin, mais la qualité n’est toujours pas là. La fin justement, est risible. Quand on sait que THE THING de Carpenter est sorti l’année précédente et que l’on voit ce qu’il est capable de faire, il vaut mieux éviter la comparaison.
​​LA NOTE : 5/10 

La note de sevenart  4.0 / 10

IMDB   5.5 / 10
Rotten Tomatoes   3.0 / 10
AlloCiné   6.2  / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  5.2 / 10
Sens Critique   5.6 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   - / 10
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​La moyenne sans 7  5.1 / 10

menu année
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN