ALL INCLUSIVE
Nom Original   ​ALL INCLUSIVE
Réalisateur   FABIEN ONTENIENTE
Date de sortie  13/02/2019
Durée   1h32
Genre   COMÉDIE
​Nationalité   FRANÇAISE

Films Réalisés   12
dont  
JET SET (2000), 3 ZEROS (2002), PEOPLE (2004), CAMPING (2006), DISCO (2008)
CAMPING 2 (2010), TURF (2013),
CAMPING 3 (2016)

Franck Dubosc
JEAN-PAUL CISSE

François-Xavier Demaison
BRUNO

Josiane Balasko
LUCIENNE

Thierry Lhermitte
EDOUARD LAURENT

Caroline Anglade
CAROLINE

​​​SYNOPSIS
Planté par sa fiancée à l’aéroport, Bruno s’envole seul pour une semaine dans un club de vacances All Inclusive aux Caraïbes. Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, il va devoir partager sa chambre avec Jean-Paul Cisse, éternel célibataire très envahissant… Avec  Lulu, retraitée et veuve très open, Caroline, Manon et Sonia, trois copines venues enterrer le divorce de la première, les deux vacanciers ne sont pas prêts d’oublier leur séjour sous le soleil des cocotiers.

VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Fabien Onteniente et Franck Dubosc ont cherché à faire en sorte que Jean-Paul Cisse dans All inclusive ne puisse pas être perçu comme un cousin de Patrick Chirac dans Camping. Cela étant, comme c'est Dubosc qui interprète ce personnage haut en couleurs et un peu caricatural, il est impossible de ne pas faire ce parallèle. De plus, Jean-Paul et Patrick possèdent deux autres points communs de taille : leur solitude et leur étrangeté. Dubosc explique :
"En fait, on ne connait pas vraiment la réalité de Jean-Paul ou Patrick. C’est un avantage et un inconvénient car on est là dans une catégorie de cinéma où personne ne peut se mettre à leur place. Un type comme Jean-Paul Cisse, il faut l’accepter tel qu’il est et c’est mon rôle de faire en sorte que ce soit le cas. On l’accepte, sans s’apitoyer, sans le plaindre ni le juger. C’est un vrai personnage imaginaire : on ne peut être que spectateur face à lui et c’est assez difficile à jouer car normalement, soit on l’aime, soit on le déteste !"
Pendant le tournage de All Inclusive, Franck Dubosc était logé au Club Med qui se trouvait juste à côté du vrai club de vacances où le film a été tourné, avec de vrais vacanciers pour la figuration. Le comédien se rappelle : 
"Ma femme et mes enfants sont venus me rejoindre et, eux, ont vécu un séjour de rêve mais pour moi ça a été un peu plus compliqué. En fait, j’étais à l’envers de tout cela, c’est-à-dire au travail ! ​

Quand vous rentrez le soir fatigué d’un club où vous avez tourné toute la journée pour vous retrouver dans un autre club où tout le monde est en train de s’éclater, de se préparer à sortir alors que vous allez vous lever à 5-6 heures du mat c’est quand même assez particulier ! Mais je dirais quand même que j’ai fini par retrouver là-bas cette espèce de sympathie que l’on peut éprouver au camping pour des gens que l’on ne connait pas mais que l’on croise au fil des jours… On est tous en maillot de bain, il y a moins de différences entre les uns et les autres. Cette petite note-là n’était pas pour me déplaire…"

La Critique de SevenArt

L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
Il y a eu CAMPING, bon concept, bon moment. Puis CAMPING 2, moitié moins bien. Puis CAMPING 3, encore moitié moins bien, ce qui commence à ne pas faire très lourd. Et cet ALL INCLUSIVE est un peu un CAMPING 4 version club car les acteurs sont devenus vieux, et toujours moitié moins bien que le film précédent, soit : complètement nul. Ce qui est sûr c’est que Franck Dubosc ne peut donc plus se passer d’Onteniente et de son personnage de vacancier débile pour exister au cinéma. 
​​LA NOTE : 3/10

L’HISTOIRE
Le problème c’est justement que le scénario est une nouvelle fois inexistant. On dilue un peu plus l’idée du concept de la saga CAMPING que l’on transpose dans un club pour vieux, bourré de clichés avec en fil rouge : une pseudo histoire d’amour. Il n’y a pas une bonne scène, une bonne séquence. Il faut vraiment arrêter avec les comédies en vacances fades et insipides. Ils ont même mis la réplique : « Je suis ton père » dans la bouche de Franck Dubosc !!! On touche le fond et on a commencé à creuser.
​​LA NOTE : 2/10 

LE JEU
Franck Dubosc fait du Franck Dubosc en beaucoup moins bien. Josiane Balasko fait la vieille en chaleur désespérée et Thierry Lhermitte se prend pour un jeune avec sa teinture noire pour essayer de passer pour un jeune quinqua alors qu’il pointe à 66 ans. Au final, si on excepte les seconds rôles qui n’ont de toute façon aucun intérêt, on se retrouve avec un François-Xavier Demaison qui doit vraiment être aux aboie lui aussi pour accepter de jouer dans ce navet.
LA NOTE : 4/10 

LE RYTHME & LA MUSIQUE
On aurait mis une vidéo de plage, de vagues et de soleil en boucle cela n’aurait pas eu moins d’intérêt. Le film est un enchainement de scènes plus mauvaises les unes que les autres. Les acteurs ne semblent plus prendre la peine de jouer. Progressivement, durant le film, ils deviennent de plus en plus mauvais. C’est finalement assez rare de voir de grands acteurs (pour certains) devenir aussi nuls.
LA NOTE : 4/10 

La musique est signée Benjamin Bioley et Dany Synthé. Et la BO ressemble a ce qu’on imagine trouver dans ce genre de club : des chansons festives et débiles de clubs de vacances. En clair la BO est inexistante et on se demande bien ce que ces 2 noms : Biolay et Synthé, font là ! 
​​​LA NOTE : 3/10 

LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
A pour les décors, on n’est pas déçu. La Guadeloupe : plage, sable, bungalow, piste de danse, mer turquoise, piscine turquoise, bar, palmiers… tout le pacquage mais en mode club All Inclusive que l’on peut traduire par : Au Rabais ! Soirée club naze, alcool dilué, réplique débiles, acteurs mauvais. 
LA NOTE : 5/10 

Pas d'effet spéciaux.
​LA NOTE : N/A

La note de sevenart  3.5 / 10

IMDB   2.8 / 10
Rotten Tomatoes   - / 10
AlloCiné   2.2 / 10
Metacritic   - / 10
Vodkaster Télérama  0.6 / 10
Sens Critique   2.8 / 10
Avoir à Lire   - / 10
Ecran Large   1.0 / 10
​
​La moyenne sans 7  1.9 / 10

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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit. 

Et n’oublions jamais que 
«  Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN