SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
1917 n’a pas été filmé en un seul plan-séquence, mais en plusieurs longues prises qui ont ensuite été montées ensemble pour donner l’impression d’une seule et unique scène. Sam Mendes avait employé un procédé similaire pour la scène d’ouverture de Spectre, mais le fait d'utiliser ce dispositif pour un film tout entier était une expérience nouvelle pour lui. Une fois cette idée validée, il a d’abord fallu déterminer les déplacements des acteurs dans chaque scène, puis planifier précisément les mouvements d'appareil.
"La première fois que j'ai compris la réalité de la guerre, c'est quand mon grand-père m'a raconté son expérience de la Première Guerre mondiale. Le film ne relate pas l'histoire de mon grand-père, mais s'attache plutôt à évoquer son esprit – ce que ces hommes ont subi, leurs sacrifices, et leur foi en quelque chose qui les dépassait. Nos deux protagonistes doivent participer à une mission périlleuse les conduisant à passer en territoire ennemi afin de livrer un message vital et de sauver ainsi 1600 soldats : notre caméra ne les lâche jamais. Je voulais m'attacher à chacun de leurs pas et sentir leur souffle, et mon chef-opérateur Roger Deakins et moi-même avons discuté de notre envie de tourner 1917 de la manière la plus immersive possible. Nous avons conçu le film pour projeter le spectateur dans ce que nos deux jeunes héros ont vécu. C'est le projet le plus enthousiasmant de ma carrière."
Albert Dupontel avait envie d’une tragédie burlesque, tout en commentant, à sa façon comme toujours, le monde qui l’environne. "Pour cette histoire, je suis parti de l’idée d’opposer deux « combles », quelqu’un qui veut vivre mais qui ne peut pas, à quelqu’un qui pourrait vivre mais qui ne veut pas."
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La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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