L'ATTAQUE DU METRO 123
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SYNOPSIS
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VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
L'Attaque du métro 123 est le remake d'un classique du polar urbain des années 70, Les Pirates du métro, réalisé par Joseph Sargent en 1974. La version de 1974 fut directement à la source de l'inspiration du Reservoir Dogs de Quentin Tarantino : les personnages portaient en effet des noms de code basés sur les couleurs : Mr Orange, Mr Blue...
Dans le film de Tony Scott, Denzel Washington porte une chemise jaune clair avec une cravate multicolore. C'est exactement l'inverse de la manière dont était habillé Walter Matthau dans la version original de 1974 où il portait une chemise multicolore avec une cravate jaune clair. De même, le personnage incarné par Denzel Washington s'appelle Walter Garber; une subtile variation avec l'original qui s'appelait Zachary Garber. Entre autres clins d'oeil, on relève également ceci : John Travolta revendique le pseudonyme de Ryder. Dans la version originale, Ryder était en fait le vrai nom du personnage incarné par Robert Shaw, alias Mr Blue. Enfin, dans la version de Tony Scott, Denzel Washington est accusé d'avoir accepté des pots de vin d'un fabriquant japonais de train. Dans la version de 1974, Walter Matthau effectue une visite des installations du PC par un groupe d'industriels japonais travaillant sur les trains.
Le métro de New York n'est pas le plus long du monde, c'est celui de Londres. Il remonte à 1863 et il est aussi le plus ancien de tous les métros. Toutefois, le métro de New York possède le plus grand parc de wagons, plus de 6400. Le NYC Transit rapporte qu'il y a plus de 1050km de rails en exploitation, c'est-à-dire utilisés pour transporter des passagers. Mis bout à bout, les rails du métro pourrait relier New York à Chicago. Enfin, la ligne A qui va de la 207ème rue à Manhattan jusqu'à Far Rockaway dans le Queens fait 50km, c'est la plus longue du métro de New York...et du monde ! |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
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L’HISTOIRE
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LE JEU
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LE RYTHME & LA MUSIQUE
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LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
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La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
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