|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Après avoir initié la saga Jurassic World en 2015, Colin Trevorrow est de retour aux commandes de ce troisième film. Jurassic World : Fallen Kingdom, le deuxième volet sorti en 2018, a été réalisé par Juan Antonio Bayona. « Ces films sont l’occasion de partager les derniers chapitres d’une histoire qu’on se raconte depuis plus de 30 ans à la chaleur d’un feu de bois. C’est un monde que Steven Spielberg et Michael Crichton ont créé ensemble et j’ai été assez chanceux pour en avoir la garde durant trois films [...] ».
Le film mêle effets spéciaux et effets numériques pour les créatures. John Nolan a dirigé la création des 27 créatures Animatroniques, dont 10 qui n’ont jamais été encore aperçues des précédents films. Parmi ces nouveaux dinosaures, on peut citer l’Oviraptor, le Dreadnoughtus, le Microceratus ou encore l’Iguanodon. Nolan a auparavant fait ses preuves sur Les Fils de l’homme, Hellboy II, Dark Crystal: Le temps de la résistance ou encore The Witcher. Pour distinguer un animatronique d’un effet numérique, il faut observer la vitesse de déplacement des dinosaures. Par exemple, si Blue est entièrement numérique car elle se déplace constamment et très rapidement, son petit, Beta, est un mélange d’animatronique, de poupée et de numérique.
Les lieux de tournages étaient préférés aux plateaux, et les plateaux aux écrans verts. Les effets numériques n’étaient utilisés qu’en dernier recours.
Colin Trevorrow voulait tourner dans des endroits qui n’avaient jamais figuré dans les précédents films de la saga, comme le Nord-Ouest du Pacifique, l’Ouest du Texas, l’Utah, San Francisco, Malte et les Dolomites. Le tournage dans le Nord-Ouest du Pacifique a été effectué en hiver pour ne pas avoir à utiliser de fausse glace ou de neige artificielle. |
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE JEU
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly