|
VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Avec Drunk, Thomas Vinterberg retrouve Mads Mikkelsen qu'il avait déjà dirigé dans La Chasse. Le metteur en scène fait également à nouveau tourner son acteur fétiche, Thomas Bo Larsen, à l'affiche de La Chasse, Festen, Submarino, It's all about love, Dear Wendy, Un homme rentre chez lui, Les Héros et le téléfilm D-dag. Lars Ranthe et Magnus Millang sont aussi des habitués de Vinterberg.
Le film a fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020. Thomas Vinterberg est un grand habitué du festival depuis qu'il a gagné le Prix du Jury pour Festen en 1998. En 2012, il a remporté le Prix du Jury œcuménique pour La Chasse. Par ailleurs, en 2013, il a endossé la fonction de président du jury de la sélection Un certain regard.
A travers Drunk, Thomas Vinterberg a voulu examiner comment la consommation d'alcool libère les gens. Pour ce, le réalisateur s'est inspiré de la théorie du psychologue norvégien Finn Skårderud, selon laquelle l'homme serait né avec un taux d’alcool dans le sang qui présenterait un déficit de 0,5g/ml. Il explique toutefois : "Si le film est une forme de célébration de l’ivresse, il est évidemment aussi un portrait lucide de ses effets dévastateurs. L’excès d’alcool tue, et détruit des vies."
Nommé aux Golden Globes, Drunk a reçu le BAFTA du meilleur film en langue étrangère et l'Oscar du meilleur film étranger.
Si traiter d'un sujet aussi grave et sérieux que l'alcoolisme avec un peu d'humour peut paraître choquant, Thomas Vinterberg espère que le film pourra donner matière à réflexion auprès d'un public dont la consommation d'alcool est élevée. Il explique : "Drunk est pensé comme un hommage à la vie. Comme une reconquête de la sagesse irrationnelle libérée de toute logique anxieuse, qui recherche le désir même de vivre... avec des conséquences parfois tragiques."
|
La Critique de SevenArt
L’IMPRESSION D’ENSEMBLE
|
L’HISTOIRE
|
LE RYTHME & LA MUSIQUE
|
LES DÉCORS & LES EFFETS SPÉCIAUX
|
La critique n’engage que celui qui la rédige et peut-être aussi celui qui la lit.
Et n’oublions jamais que
« Pour faire un bon film il faut trois choses : une bonne histoire, une bonne histoire et une bonne histoire. » Jean GABIN
Proudly powered by Weebly