VOUS NE LE SAVIEZ PEUT-ÊTRE PAS ?
Après Astérix et Obélix contre César en 1999 et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre en 2002, Christian Clavier n'a pas souhaité enfiler à nouveau le costume de l'irréductible petit gaulois. C'est donc Clovis Cornillac qui prête ses traits à Astérix.
L'un des scénaristes et co-réalisateur du film, Frédéric Forestier, a signé en 2005 la comédie Le Boulet; énorme succès en salle avec plus de 3 millions d'entrées. Portée par le duo Benoît Poelvoorde et Gérard Lanvin, le film était scénarisé et produit par Thomas Langmann, réalisateur d'Astérix aux Jeux Olympiques.
A l'origine, le troisième volet des aventures d'Astérix devait s'intituler Astérix en Hispanie, réalisé par Gérard Jugnot. Mais le projet a finalement capoté. C'est finalement Thomas Langmann qui met sur pied Astérix aux jeux Olympiques, via sa société "La petite Reine".
Avec un budget avoisinant les 78 millions d'euros, Astérix aux Jeux Olympiques est le second plus gros projet de l'histoire du cinéma français, derrière les 90 millions de dollars du Le Cinquième élément de Luc Besson. A titre de comparaison, Astérix et Obélix contre César et Astérix et Obélix : mission Cléopâtre étaient respectivement dotés d'un budget de 41 et 49 millions d'euros. Vendu dans une soixantaine de pays, Astérix aux jeux Olympiques a en outre bénéficié d'un budget marketing record de 20 millions d'euros.
Astérix aux Jeux Olympiques est l'un des derniers rôles de Jean-Pierre Cassel, père de Vincent Cassel, sous les traits du druide Panoramix. L'acteur est en effet décédé en avril 2007.
Quoi de mieux que de montrer, même le temps d'une courte scène, des sportifs de haut niveau lorsque l'on est aux Jeux Olympiques ? Telle est en tout cas l'une des idées de Thomas Langmann, qui n'a pas hésité à convaincre des stars du sport comme Amélie Mauresmo; Zinedine Zidane; Michael Schumacher en conducteur de char qui ressemble étrangement à une célèbre écurie ou encore Tony Parker, à prêter leur concours dans le film !
Dès le départ, Thomas Langmann souhaitait bâtir le scénario du film autour de deux idées clés. La première devait montrer un duo-duel entre César et Brutus, lequel n'a qu'une idée en tête : prendre la place de son père. La seconde était une histoire d'amour entre un jeune gaulois et la princesse grecque que convoite aussi Brutus, mais dont la main sera promise au vainqueur des Jeux Olympiques.
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